Agriculture et urbanisme : la nécessaire cohabitation
La région Île-de-France illustre parfaitement la compétition qui se joue entre urbanisme et préservation du foncier agricole. Près de la moitié de la surface de la région est encore cultivée. Mais l’étalement urbain, avec 70 000 nouveaux logements par an, continue à grignoter ces terres. Ces projets d’aménagement peuvent toutefois constituer des opportunités pour relocaliser l’alimentation en développant une agriculture biologique au plus près des bassins de vie.