L’étalement urbain accroît le nombre de jours de canicule
Les villes sont beaucoup plus exposées aux canicules que les zones rurales. Le béton, le macadam et les toits qui absorbent l’énergie solaire, l’absence de végétation et d’évaporation ainsi que le dégagement de chaleur des moteurs automobiles contribuent à former ce que les spécialistes appellent des «îlots de chaleur urbains».
Une étude américaine révèle (Environmental Health Perspectives, octobre 2010) révèle que le nombre de jours de très grosses chaleurs est deux fois plus important dans les villes dont les banlieues ont grignoté les zones rurales périphériques que dans celles qui sont restées à l’intérieur de leurs limites géographiques.
Lire l’article d’Yves Miserey pour le Figaro du 07/10/2010 :